INDÉCENCE. Irak-Syrie: quand la disparition de James Foley était l’oeuvre de Bachar al-Assad

On doit tous s’unir face au terrorisme. Condoléances à la famille et aux proches de James Foley. Pensées pour les autres retenus.
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We must all stand unite again terrorism. Prayers and condolences to James Foley’s family and friends. Thoughts for others detained.

Allain Jules

foleyLa presse mainstream frappadingue avait attribué, sans le début même d’un commencement de preuve, la disparition du journaliste américain James Foley en Syrie, au président syrien Bachar al-Assad. C’était en novembre 2012. Hier, stupeur et tremblements, les jihadistes de l’EI revendiquent non seulement son enlèvement, mais aussi son assassinat par décapitation. Comme tous reprennent la daube de l’AFP que nous reprenons en dessous in-extenso, Libération allait de son petit refrain anti-Assad. Toute honte bue, certains trouveront encore le zèle d’insulter, de mentir. Normal, l’impunité dont bénéficient certains est indécente. Bien pire, cet enlèvement a eu lieu bien au début du conflit, ce qui prouve bien que depuis ce début de conflit, et non à cause de la supposée répression de l’armée syrienne, ces gens-là, takfiris, jihadistes et je ne sais trop quoi, financés par l’Occident, étaient en opération commandée contre le président Assad et la Syrie. Vous avez dit « révolution arabe » ?…

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